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Etape 1 - Vendredi 24 mai - Pouilly sur Loire - 62 km


(Cliquez pour lire la publication complète)


Et voilà, la première étape est faite. Arrivée comme prévu vers 16h30 à Pouilly sur Loire et pas une seule goutte de pluie. Le ciel était menaçant à l’horizon mais s’est dégagé sur notre passage.

Une étape sans difficultés durant laquelle j’ai été accompagné sur tout le parcours par Christian, bénévole à France ADOT 58 (cycle de l’ASPTT Nevers).

Ont roulé une partie du parcours avec nous : Patrick, Marcel (des cyclos de Coulanges les Nevers) et Aymeric, pompier volontaire membre de l’amicale des pompiers de Nevers.


Au kilomètre zéro, au bec d’Allier, Fabrice, chauffeur pour les taxis G5 et Margot, chargée de communication en alternance aux Ambulances G5 étaient présents le temps d’immortaliser le départ officiel et formuler leurs encouragements ainsi que ceux de Didier Boucoiran président du groupe G5 (ambulances/Taxis G5).


Arrivés à Pouilly sur Loire, Annick, l’épouse de Christian nous attendait avec le ravitaillement (et des serviettes pour nous sécher au cas où nous serions mouillés s’il aurait plu).


Je suis accueilli pour la soirée et la nuit chez des amis, chambre avec vue sur la Loire.


Demain samedi, la 2ème étape m’emmènera à Gien, via Briare ou je retrouverai Céline pour le déjeuner (et la suite de l’aventure).


 

Focus du jour sur le don d'organes :


Savoir pour ses proches, ça change tout !


Proche de donneur : un rôle ingrat

Au moment d’être à même de faire don de ses organes, ce n’est évidemment plus le donneur qui peut s’exprimer ! Les proches sont alors consultés.

Le moment étant dramatique (décès subit à l’hôpital), l’accompagnement des familles par le personnel médical est heureusement une évidence. Et si le don d’organes est envisagé, il fera évidemment partie des échanges.

Pour ceux qui n’ont jamais été au clair sur cette question c’est alors la double peine : la disparition subite de l’un des leurs à traverser et la charge supplémentaire de devoir « trancher » rapidement cette question éthique et intime. Dans ce cas, effectivement, un rôle très ingrat à endosser…

Ne souhaiteriez-vous pas éviter cette situation ? https://www.france-adot.org/




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