Surprise !
Pour cette étape 5eme étape, j’ai eu le plaisir de pédaler avec Didier Boucoiran, président du groupe G5 (Ambulances / taxis à Nevers), partenaire de ce périple.
Didier Boucoiran a trouvé une place dans son agenda chargé de chef d’entreprise pour venir de Nevers à Vineuil (avant Blois) et enfourcher son vélo (avec assistance électrique) pour m’accompagner sur 50 km jusqu’à Amboise.
Durant cette matinée, nous avons pu échanger et apprendre à mieux nous connaître, tout en longeant la Loire, en gravissant des jolies côtes dans les coteaux de vins de Touraine, traversant les vignes (nous ne nous sommes pas arrêtés), et dévalant en roue libre les belles descentes pour rejoindre le fleuve et ses méandres.
Une petite pause café à mi chemin, à Candé sur Beuvron nous a permis de reprendre de l’énergie pour la deuxième partie de la matinée.
Un petit coup de gonflage des pneus du vélo de Didier Boucoiran et nous avons réenfourché nos bicyclettes pour rejoindre Amboise où nous t’attendaient Céline et un ami de Didier Boucoiran qui a emmené la voiture de Vineuil à Amboise et éviter à mon accompagnateur d’un jour de faire les 50 km dans l’autre sens pour la récupérer sur le lieu de départ.
Après un bon moment de partage autour d’un déjeuner dans une guinguette, j’ai repris la véloroute jusqu’à Tours tandis que Didier Boucoiran se précipitait dans un endroit tranquille pour participer à une réunion en visio.
Les 25 km de l’après-midi ont été parcourus avec du vent de face, des déviations et encore des jolies montées au cœur du vignoble de Montlouis et des belles descentes vers la Loire.
Point météo : ciel couvert et vent. 2/3 rayons de soleil. Pas de pluie.
Et le physique ? Ça va bien. Le cœur que l’on m’a greffé va bien ! Merci au donneur et à ses proches.
Demain mercredi, journée repos à Tours. Pas de vélo.
Focus du jour sur le don d'organes :
Savoir pour ses proches, ça change tout !
Pour témoigner, il faut savoir
Il faut savoir pour jouer correctement ce rôle clé de proche. Savoir à la première occasion pour son conjoint, ses enfants, son père, sa mère.
Ceux qui ne savent pas pour leurs proches au moment où on leur demande de témoigner vivent une situation alourdie. Et formulent à ce moment-là non pas un témoignage mais un sentiment qui naturellement est celui d’un réflexe de protection et d’allègement du moment.
Vos proches se sont-ils ouvertement opposés devant vous ? https://www.france-adot.org/ et www.blog.france-adot.org
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